Les mhamar sont une spécialité de la cuisine juive tunisienne qui se composent de légumes farcis à la viande. C’est un plat complet et une idée qui change pour utiliser la viande hachée. On peut les préparer d’avance et les manger chauds ou froids arrosés d’un jus de citron ! On les prépare également traditionnellement à Pessah en remplaçant la chapelure par de la farine de matza (pain azyme).

Ce pain italien à base d’huile d’olive et agrémenté de graines de nigelle est celui est traditionnellement utilisé pour réaliser le sandwich tunisien, garni comme le fameux fricassé tunisien. Il accompagnera également des plats mijotés tels que la Psal ou Loubia (ragout de viande aux oignons et haricots) ou encore la mloukhia, ragoût de corète à la viande et merguez.

Le coing est un fruit méconnu et délicieux, notamment préparé en confiture, pâte ou gelée de coings. Voici la recette et les astuces pour la réussir.

Voici une salade cuite aux artichauts facile à faire et toujours appréciée en kémia, notamment lorsque l’on sert du couscous.

Derrière ce drôle de nom se cache un gâteau de mon enfance. Une gênoise délicieuse très rapide à faire, bien haute, moelleuse, sans produits laitiers. Le gâteau idéal pour le goûter ou le petit déjeuner.

La pastilla au poulet est un incontournable et sans doute l’un des plats les plus connus de la cuisine marocaine. C’est un peu long à réaliser mais la farce peut se préparer la veille. Je ne suis pas une grande fan de la cuisine sucrée salée et pourtant j’apprécie beaucoup ce plat, tout comme ceux qui l’ont goûté ! Si vous êtes comme moi, donnez-lui une chance, vous pourriez adorer !

Les artichauts farcis sont un plat familial et rapide à préparer auquel on ne pense pas toujours, j’aime bien les servir avec une sauce jaune aux petits pois.

Voici une petite salade de concombres que vous pourrez servir telle quelle ou en tant que condiment avec du saumon, de la charcuterie, une salade verte.

Voici un incontournable de la cuisine tunisienne, les fricassés. Ce sont des sandwichs dont le pain est frit,comme des beignets briochés salés, avec une garniture à base de thon, d’œufs durs, d’olives et de salades cuites. Ca vous semble lourd ? Essayez, ils sont en général très appréciés, notamment en version mini pour vos buffets et apéritifs !

Voici une spécialité de la cuisine juive tunisienne, qui accompagnera à merveille vos bouillons de poulet. La minina est une sorte de gâteau salé aux œufs et au poulet cuit au bain-marie qui lui donne un moelleux sans pareil. Je partage notre recette familiale pour une Minina classique.

Ces petites bricks tunisiennes garnies avec des pommes de terre, des œufs et du thon sont synonymes de tables de fêtes. Le croustillant de la brick fait place au fondant de la farce, une recette à tester et ajouter à vos apéros ou buffet.

Le chou farci est un plat charmant et désuet qui fait partie des plats familiaux réconfortants. Je l’ai découvert en Israël où il est ancré dans la cuisine maison, recette héritage ashkénaze. On lui connait beaucoup de cousins car les farcis en tous genres font partie de la tradition culinaire juive.

La gnaouia (gnaouiya, ganaouia ou gnawia) est une spécialité de la cuisine juive tunisienne qui fait toujours fureur. L’ingrédient de base de ce délicieux plat est le gombo, préparé avec du bœuf ou du poulet. Incontournable des fêtes notamment du shabbat, s’il est assez peu connu dans la cuisine européenne, le gombo est présent en Afrique et au Moyen-Orient.

Les carottes au carvi sont une spécialité tunisienne et font partie de la kémia traditionnelle (ensemble de petites entrées servies en début d’un repas de fête). C’est une délicieuse façon d’accomoder les carottes.

Comment vous résumer ce plat à la fois si simple et si délicieux. Le nikitouche, c’est mon enfance, un joli bouillon de poulet doré parsemé de petites pâtes rondes les fameux nikitouches.

Cette recette de filets de rougets est idéale pour les beaux jours. Rapide à réaliser la sauce chermoula ou derssa est une marinade utilisée généralement pour accompagner poissons et viandes grillées et elle apporte un goût délicieux.

Derrière ces drôles de noms se cache un gâteau aux pâtes et au poulet. Une spécialité tunisienne méconnue qui donne plat délicieux et idéal pour recycler des restes.

Les oreilles d’Haman Symbole culinaire de la fête de Pourim, l’oreille d’Haman se décline selon les traditions, voici donc une recette ashkénaze et une sépharade (chez nous, pas de jaloux). Dites-moi laquelle vous aurez essayée et votre préférée. Oreilles d'Haman au pavotCliquez sur l’image pour la recette Oreilles d'Haman italiennesCliquez sur l’image pour la recette Les oreilles d’Haman ainsi que les Krepleh sont tous les deux des plats fourrés, dont la garniture est cachée. Cela rappelle qu’Esther a caché qu’elle était juive jusqu’au dernier moment. Dans la même idée, bien que D.ieu ait permis que se produise un miracle, son nom est “caché” et n’apparait pas dans la Méguila d’Esther. ...

La bsal ou loubia (ou psal ou loubia), qui signifie « oignons et haricots », est un plat mijoté traditionnel de la cuisine tunisienne. Excellent et incontournable, il est composé de viande de bœuf, d’oignons et de haricots dans une sauce réduite onctueuse. Voici ma recette familiale de la Psal ou Loubia.

Une Halla aux œufs, simple et moelleuse.

Les Krepler (ou kreplach) sont des pâtes farcies ashkénazes (d’origine allemande) qui existent aussi bien au fromage qu’à la viande. Si les krepler les plus connus se font généralement au poulet ou au bœuf dans un bouillon de poulet, je vous présente aujourd’hui une version végétarienne (parve) tout aussi savoureuse !